top of page

Quels "symptômes" conduisent à pousser la porte du cabinet du psychanalyste ...?

Toutes sortes de raisons peuvent, un jour, conduire à consulter un psychanalyste. 
Que ce soit suite à des difficultés rencontrées dans la vie de couple, familiale ou encore au travail.
De l'ordre d'angoisses irrépressibles.
Après la perte d'un être cher, laissant entrevoir un travail de deuil douloureux et difficile.
Lors d'une dépression, où toute l'énergie est mobilisée pour se maintenir à flot et où il n'est pas aisé d'entrevoir une ouverture après les divers chamboulements survenus.
Un traumatisme ; un divorce ; un mal-être ou un manque de confiance en soi. Des difficultés scolaires ; des problèmes dans la fratrie.
Des troubles alimentaires ; des phobies ; des troubles du sommeil ; du stress, beaucoup de stress...
Lorsque le symptôme devient trop encombrant, qu'il y a un impossible à vivre, peut-être est-il  temps de pouvoir en parler.
Mais, l'analyse peut aussi avoir lieu lorsque tout va pour le mieux. C'est alors l'envie d'explorer et d'aller à sa propre rencontre qui guide l'entrée en analyse.

Choisir son thérapeute

 

Une étape préalable de toute importance

Le choix de l'analyste ou du psychothérapeute repose avant tout sur un ressenti des plus personnel. Le sentiment de liberté d'expression, d'absence de jugement de valeur de la part de l'interlocuteur, sont autant d'indicateurs pouvant confirmer le choix du professionnel. 
La confiance participe ainsi à l'alliance thérapeutique.
De fait, le thérapeute doit pouvoir vous garantir un cadre où votre parole pourra se déployer dans la bienveillance et la neutralité

bottom of page